Où est la petite balle jaune dans les quartiers défavorisés ? En 2019, le tennis représentait 2,9% des licences délivrées dans les zones prioritaires, c’est deux fois moins que le taux à l’échelle nationale. Entre le coût de la pratique, l’accessibilité aux terrains et l’image « élitiste ». La barrière est bien réelle. 

Josselin Ouanna entraîne aujourd’hui sur les terrains des Girondins de Bordeaux Omnisport. ©Enzo Calderon

Le constat d’un fossé

Les habitant·es du quartier de Saige à Pessac bénéficient de deux terrains à proximité. ©Enzo Calderon

Casser les codes bourgeois pour ouvrir le jeu

Quartiers populaires, un terrain défavorable : l’absence d’infrastructures 

Des city stades plutôt que des courts de tennis ?

Juliette Hirrien, Enzo Calderon, Louise Fornili, Sacha Gaudin, Pablo Perez et Emma Likaj